Le Bureau du Coroner a tranché: ni les ambulances, ni les urgences ne doivent être blâmées pour le décès d’un homme survenu, en août dernier, au parc de la Gorge, à l’occasion d’une représentation de Foresta Lumina. Les conclusions du Coroner sont claires: la fermeture de l’urgence et l’absence d’ambulances sur le territoire, n’ont pas été des facteurs déterminants dans la mort d’un octogénaire. Selon le docteur John Westerlund, même une ambulance postée à Coaticook aurait eu de la difficulté à arriver auprès de la victime en moins de 10 minutes. Rappelons que lors de la soirée du 14 août 2022, une ambulance de Sherbrooke est arrivée 23 minutes après avoir reçu l’appel et que l’octogénaire avait dû être transporté jusqu’à une urgence de Sherbrooke.
DÉCÈS SURVENU À LA GORGE DE COATICOOK: LES AMBULANCES ET LES URGENCES NE SONT PAS BLÂMÉS
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois