Ceux qui connaissent Bernard Comptois, le joueur de hockey, savent à quel point il a le compas dans l’oeil. Mais il faut aussi savoir que notre homme sait manier autre chose qu’un bâton de hockey. Le Coaticookois de 66 ans l’a prouvé, hier, en réalisant un trou d’un coup au Club de golf de Coaticook. Bernard est parvenu à loger sa belle dans la cup du trou numéro 5 avec l’aide de son fer 6. Bien que le saison soit encore jeune, deux golfeurs de chez-nous ont déjà réalisé un trou d’un coup sur les allées du Club de Coaticook. Il y a quelques jours à peine, Sébastien Thibault (fils de Paul-Émile) a effectivement, lui aussi, réalisé l’exploit sur le trou no 18. Quel début de saison !
TROU D’UN COUP POUR BERNARD COMPTOIS AU CLUB DE GOLF DE COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois