L’organisation du Big Bill de Coaticook rendra hommage à l’un de ses anciens piliers, Stéphane Waite, le vendredi 27 mai prochain, dans le cadre d’une joute régulière entre Coaticook et les Expos de Sherbrooke. Stéphane Waite est celui qui a sauvé la concession, en 1997, alors que Coaticook n’avais plus suffisamment d’effectifs pour poursuivre l’aventure dans la Ligue de Baseball senior de l’Estrie. Sa contribution à l’équipe locale n’est pas banale. Il fut joueur-entraîneur des athlétiques (1997 et 1998) et du Big Bill, entre 1997 et 2004. Il a permis à l’équipe locale d’emmagasiner quelques championnats de séries en 1997, 1998, 2000 et 2001. Sur le plan individuel, il a réalisé de beaux exploits, tant en attaque qu’en défensive. Au-delà des statistiques, par son comportement, il se doit d’être considéré comme étant un excellent vendeur pour mousser le baseball senior en Estrie.
BIG BILL: LE NUMÉRO DE STÉPHANE WAITE SERA RETIRÉ
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois