Branle-bas de combat, hier, aux abords de la rivière Coaticook, alors que des hydrocarbures ont été aperçus en avant-midi par un citoyen qui a alerté les autorités. Des représentants d’Urgence Environnement étaient sur place en fin d’avant-midi et des membres du Service de sécurité incendie de Coaticook sur l’heure du souper. Le chef pompier, Benoit Sage n’était pas en mesure de dire la provenance de ces hydrocarbures. À l’instar du maire, Simon Madore, on a une petite idée de l’endroit du déversement, mais on n’en a pas une preuve absolue. Hier, en début de soirée, un camion s’est amené aux abords de la rivière à Coaticook pour des opérations de siphonnage des matières dangereuses. Des bouées absorbantes ont été placées au barrage Saint-Paul
LA PRÉSENCE D’HYDROCARBURES DANS LA RIVIÈRE COATICOOK ENTRAÎNE DES OPÉRATIONS D’URGENCE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois