À en juger par l’enthousiasme affiché par la directrice générale, Daphnée Lebrun, le Pavillon des arts de Coaticook a littéralement le vent dans les voiles. D’abord, le bilan de l’Assemblée générale, qui a eu lieu mardi soir, fait état de résultats, somme toute, raisonnables compte tenu des importants travaux de rénovation qui ont perturbé les opérations. Rappelons que la programmation d’automne 2023 a dû être annulée en totalité en raison des travaux. En fait, le dernier spectacle a été présenté le 16 avril 2023. C’est ainsi que durant les travaux, des spectacles ont dû être déplacés à La Frontalière (Alexandre Poulin) et au Collège Rivier au cours des mois de janvier, février et mars. Malgré ce chamboulement au niveau de la logistique, la vente de billets s’est avérée fort respectable. Les chiffres sont effectivement étonnants. Alors que le conseil d’administration s’attendait à des ventes de totalisant 43 000 $ pour tous les spectacles prévus entre le 1er mars et la fin juin, l’objectif de vente de billets a été atteint à 75 %, soit, des entrées d’argent de 33 000 $. Sachant qu’une quinzaine de spectacles sont prévus d’ici la fin de la programmation, l’objectif sera largement dépassé. Surtout avec des noms comme France Damours, Brigitte Boisjoli et Kevin Parent. Par ailleurs, la directrice générale a été impressionnée par la réponse du public, vendredi, lors de l’inauguration des travaux. Des visiteurs sont venus durant toute la journée, jusqu’à tard en soirée pour redécouvrir le Pavillon des arts, mais aussi pour assister aux spectacles. Lors de cette seule journée, pas moins de 144 billets ont été venus pour des spectacles de l’actuelle programmation. Pas moins d’une trentaine de cartes de membres ont aussi été vendus. La directrice générale (photo) estime que la pause a été salutaire pour permettre à toute l’équipe et aux administrateurs de revoir le plan stratégique du Pavillon des Arts. Trois objectifs bien précis ont été retenus: la renaissance (sortir le pavillon de ses murs), le rayonnement et les ressources humaines. Incidemment, on aimerait éviter un trop grand roulement de personnel qui contribue à des coupures au niveau de la continuité des dossiers.
LE PAVILLON DES ARTS DE COATICOOK A LE VENT DANS LES VOILES
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois