Le monde se transforme. La main-d’oeuvre se déplace d’un continent à l’autre en quête d’un meilleur sort. Les dirigeants de l’usine Cabico de Coaticook ont compris qu’ils se devaient de faire appel à des travailleurs étrangers pour assurer les opérations quotidiennes. Après trois ans d’intenses démarches au Sénégal et aux Philippines, des travailleurs étrangers sont désormais en poste à Coaticook. Ils sont 12 du Sénégal et 24 des Philippines. Et c’est loin d’être terminé. Dès cet automne, 30 travailleurs des Philippines arriveront pour une durée de deux ans. Et 30 autres sont attendus en juillet 2024. Et c’est sans compter que des représentants de l’usine sont allés aux Philippines, la semaine dernière, ce qui devrait se traduire par l’arrivée d’une vingtaine de travailleurs d’ici quinze mois.
BIENTÔT 100 TRAVAILLEURS ÉTRANGERS À L’USINE CABICO DE COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois