Afin de prolonger les saisons (printemps et automne), des organisations sportives (football et soccer) de la région tentent de convaincre les autorités municipales d’aller de l’avant avec l’aménagement d’une nouvelle surface synthétique. Celle-ci serait aménagée sur le terrain déjà existant, derrière l’école secondaire La Frontalière. Elle servirait autant pour l’école que pour les activités des sports mineurs de la ville. Coût d’une telle infrastructure: 3 M$. Le maire de Coaticook, Simon Madore, en a brièvement discuté, lors de sa conférence annuelle, la semaine dernière, lors d’une activité de la Chambre de commerce et d’industrie de Coaticook. Même en sachant que le gouvernement du Québec pourrait contribuer à défrayer le coût de la facture, la Ville de Coaticook peut-elle dépenser un si important montant d’argent pour une surface synthétique ?
DES ORGANISATIONS SPORTIVES DE COATICOOK RÉCLAMENT UNE SURFACE SYNTHÉTIQUE. COÛT: 3 M$
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois