Le directeur de la Régie intermunicipale de protection incendie de la région de Coaticook, Benoit Sage (photo), mentionne qu’il faut demeurer très prudent avec la manutention des cendres chaudes provenant du poêl à bois. Selon Benoit Sage, il faut généralement attendre deux semaines avant de déposer les cendres dans le bac brun. Le dépôt hâtif des cendres constitue un fléau aussi pire que les feux de cheminée, aux dires de M. Sage. Les dernières interventions des pompiers de Coaticook étaient incidemment attribuables à un manque de précaution au niveau de la gestion des cendres.
PRUDENCE DANS LA MANUTENTION DES CENDRES CHAUDES
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois