Contrairement à d’autres petites localités de l’Estrie, Coaticook a la chance de miser sur une équipe de pompiers volontaires en nombre suffisant. Le directeur de la Régie des incendies, Benoit Sage, précise qu’il peut compter sur un groupe de 33 pompiers volontaires pour assurer la couverture du territoire de Coaticook. Le groupe bénéficie également d’une intéressante mixité des âges. L’âge des pompiers varie effectivement entre 20 et 64 ans. Par ailleurs, tel que convenu dans les nouvelles dispositions contenues dans le Schéma de couverture de risques, il existe une excellente collaboration entre les pompiers de Coaticook, ceux de Compton et de Waterville. Chacune de ces localités possède un service indépendant, mais Coaticook accepte de prêter main forte à ses voisins et vice-versa.
LES POMPIERS DE COATICOOK ONT SUFFISAMMENT D’EFFECTIFS
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois