C’est une belle cérémonie à laquelle a eu droit Stéphane Waite, vendredi soir dernier, au Stade Julien-Morin de Coaticook, alors que l’organisation du Big Bill de Coaticook retirait son chandail numéro 16. Une intéressante assistance était présente pour ce grand moment pour celui qui a porté l’uniforme du Big Bill durant huit saisons. On le voit ci-haut en compagnie du maire de Coaticook et de Paul-Émile-Thibault qui a côtoyé Stéphane Waite à ses belles années (1997à 2004).
Cérémonie remplie d’émotions pour Stéphane Waite
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois