Selon Charles Vaillancourt, propriétaire de l’entreprise Produits Valfei de Coaticook et président de l’Association des producteurs d’arbres de Noël du Québec, l’année 2023 en est une phénoménale. Sur le plan des ventes, dit-il, c’est une année exceptionnelle, autant ici au Québec qu’aux États-Unis. Selon lui, l’arbre de Noël naturel reprend ses lettres de noblesse. Il y a actuellement une forte demande pour le sapin naturel et les consommateurs sont disposés à payer le prix pour s’en procurer un. Ce goût pour un arbre naturel a notamment refait surface lors de la pandémie. Pour ce qui est du coût d’un arbre de Noël pour cette année, Charles Vaillancourt parle d’une hausse variant de 5 à 10 %. Les gens de l’Estrie, en général, vont payer moins cher que ceux demeurant dans les grands centres, tels Montréal et Québec. Sur le plan de la production en tant que telle, les producteurs doivent conjuguer avec les caprices de Dame Nature. Les changements climatiques causent des maux de tête aux producteurs. Selon Charles Vaillancourt, on observe désormais des extrêmes au niveau des températures. Et les pluies fréquentes frappent avec beaucoup de force. Tant et si bien que ces choc climatiques se traduisent par des pertes, surtout chez les petits arbres.
UNE DES MEILLEURES ANNÉES POUR LES VENTES DE SAPINS DE NOËL
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois