Le centre-ville de Coaticook est bien calme en ce mercredi 18 mars. Depuis quelques jours, soit depuis que le premier ministre François Legault a invité les Québécois à réduire, le plus possible, leurs déplacement, plusieurs commerces décident de fermer. C’est le cas de le dire, en cette période de pandémie (COVIS-19), une nouvelle page d’histoire du Québec et de la planète entière est en train de s’écrire sous nos yeux. Et vous ? De quoi avez-vous le plus peur ? Des conséquences du coronavirus sur la santé des gens ? Des conséquences du coronavirus sur la vitalité économique du Québec ? Ou des conséquences du coronavirus pour nos étudiants du réseau scolaire ? Faites nous part de vos commentaires.
Un centre-ville bien calme à Coaticook
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois