La semaine dernière, on apprenait que Raynald Drolet avait hérité du poste de directeur de l’Office municipal d’habitation (OMH) de la région de Coaticook. Puisqu’il s’agit d’un poste à temps plein, des gens se sont questionnés sur ce qu’il adviendra de la compagnie de Taxi 300. Rappelons que la flotte de taxi de Coaticook appartient à ce même Raynald Drolet. Questionné sur l’avenir de Taxi 300, Raynald Drolet s’est empressé de signifier que des démarches avaient déjà été amorcées dans le but de dénicher un gestionnaire pour gérer les opérations. Ainsi, le service devrait demeurer le même.
NOUVEAU POSTE DE RAYNALD DROLET : TAXI 300 VA CONTINUER DE BIEN SERVIR SES CLIENTS
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois