Après plusieurs années au service du Carrefour jeunesse emploi de la région de Coaticook, Steve Proulx relève désormais d’autres défis. Outre son émission du dimanche à la radio de CIGN FM (photo), le Coaticookois accepte aussi de livrer des conférences sur les défis qu’il a su surmonter tout au cours de sa vie. Volubile, énergique et capable d’humour, Steve Proulx est en voie de se tailler une place enviable parmi des conférenciers. La semaine dernière, plus de 700 élèves de l’école secondaire La Frontalière de Coaticook ont salué son courage et sa détermination dans le cadre d’une conférence livrée à l’occasion des journées de la persévérance scolaire. Notre homme avoue bien humblement apprécier agir à titre de conférencier et il se dit étonneéde la réception des auditeurs.
STEVE PROULX SE PLAÎT DANS SON RÔLE DE CONFÉRENCIER
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois