Le Coaticookois Steve Proulx, qui occupe actuellement le poste de directeur du Carrefour Jeunesse Emploi (CJE) de la MRC de Coaticook, s’apprête à quitter ses fonctions. Dès septembre prochain, Steve Proulx réorientera sa carrière, en mettant l’emphase sur ses talents de formateur (coaching). Il entend aussi consacrer du temps à développer son créneau de conférencier. Après 22 ans, il était temps, dit-il, de tourner la page. Il mentionne avoir fait le tour du jardin. Steve Proulx en a fait l’annonce à ses confères et consoeurs employés dans la journée de mardi. Les membres du conseil d’administration, pour leur part, connaissaient ses intentions depuis une semaine déjà.
STEVE PROULX S’APPRÊTE À QUITTER LE CJE DE COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois