Le Big Bill a effectué un départ canon, hier soir, marquant 2 points dès la première manche face au Brock de Drummondville. Un premier tour de bâton ponctué de 4 coups sûrs qui laissait présager une victoire pour les amateurs réunis au Stade Julien-Morin de Coaticook. Mais les choses se sont gâtées par la suite. Le ciel est tombé sur la tête de l’équipe locale qui tirait de l’arrière 11-2 en 6e manche. Les locaux ont bien tenté une remontée, mais ce fut trop peu, trop tard. Défaite de 11-8 pour la troupe de l’entraîneur-chef, Jonathan Breton, qui encaisse une quatrième défaite consécutive. Le lanceur partant, Samuel Poliquin (photo) a connu une sortie difficile, étant accueilli solidement par les frappeurs adverses.
SORTIE DIFFICILE DU LANCEUR SAM POLIQUIN DANS UN REVERS DU BIG BILL
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois