Bonne nouvelle pour les automobilistes qui ont à se déplacer fréquemment entre Coaticook et Sherbrooke. Le chantier routier de la Route 147 est presque complété, de sorte que les automobilistes pourront circuler librement au coeur du village de Compton dès le vendredi 13 septembre. C’est le maire de Compton, Jean-Pierre Charuest, qui a confirmé la nouvelle à CIGN FM, ce matin. Le maire ne cache pas sa satisfaction de voir que la réouverture soit prévue deux semaines plus tôt que prévu. Il faut se rappeler que lors des débuts des travaux (photo), on avait statué que les automobilistes allaient être dans l’obligation d’effectuer un détour de 10 kilomètres jusqu’au 27 septembre. Si tout se déroule bien, les opérations d’asphaltage devraient commencer en début de semaine prochaine (lundi 9 septembre). Invité à commenter les états d’âme des automobilistes, qui se plient à des contraintes chaque jour, le maire Charuest estime qu’en général, ça s’est bien passé. Évidemment, il a fallu répéter les mêmes messages à de multiples reprises. Depuis quelques semaines, par exemple, des automobilistes profitent de l’absence de signaleurs, la fin de semaine, pour circuler sur le chantier. Le premier magistrat tient à répéter qu’il est toujours défendu de circuler sur le chantier…sauf pour la circulation locale. Les policiers vont demeurer aux aguets, a-t-il dit. D’ici deux semaines, il sera possible d’admirer ce segment de 400 mètres de route. Mais préparez-vous. Dès l’an prochain, d’importants travaux seront entrepris à la rentrée sud du village de Compton. Dans ce cas-ci, les travaux vont s’échelonner sur une période de six mois au moins. Le Ministère des Transports désire mettre la Route 147 aux normes de 2024, et ce, sur une distance de près de deux kilomètres. La route sera notamment élargie.
RÉOUVERTURE DE LA ROUTE 147 À COMPTON LE 13 SEPTEMBRE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois