Par une journée splendide, plus de 700 randonneurs sont montés au sommet du Pinacle à Baldwin (Parc Harold Baldwin) ce dimanche, 20 octobre. De ce nombre, 90 % étaient des visiteurs de l’extérieur de la MRC de Coaticook, donc des entrées payantes. Comme l’a signalé Quentin Hahn, patrouilleur et responsable de l’accueil, les visiteurs étaient enchantés de profiter de l’agréable température. Selon le registre du kiosque d’accueil, plus de 600 non-résidents étaient déjà passés, avant 15 h, dans l’après-midi de dimanche. Et la journée de samedi en fut également une intéressante pour le Parc Harold Baldwin. Par un ciel sans nuage, le panorama (photo), au sommet de la montagne, était formidable et les visiteurs furent nombreux à prendre des clichés sous tous les angles. Quentin Hahn mentionne avoir eu beaucoup de commentaires positifs sur la qualité des sentiers.
PLUS DE 700 RANDONNEURS AU SOMMET DU PINALCE À BALDWIN UN 20 OCTOBRE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois