Si les premières semaines ont été plus difficiles sur le plan de l’achalandage, on peut cependant admettre que le Marché local de Compton a connu d’excellents moments, particulièrement dans les huit dernières semaines. Selon Diane Goyette, une des instigatrice de cette activité, les médias ont vraisemblablement contribué à faire fuir les consommateurs en répétant, de façon régulière, au début, qu’il fallait effectuer un détour de 10 kilomètres pour les visiteurs en provenance de Sherbrooke. À partir du moment, dit-elle, ou les médias ont cessé d’en parler, le Marché local a retrouvé sa clientèle habituelle. Selon elle, l’achalandage des deux derniers mois est tout à fait similaire aux années antécédentes. Elle affirme toutefois qu’il sera bien difficile pour le Marché d’attirer autant de visiteurs qu’avant la pandémie. Elle croit que la situation financière y est pour quelque chose dans cet achalandage à la baisse. Ceci étant dit, elle persiste à dire que le coût des aliments est comparable à ce qui se vend dans les marchés d’alimentation. Selon elle, si les gens ressortent du site avec une facture plus élevée que prévu, c’est probablement qu’ils ont acheté une plus importante quantité d’aliments que ce qu’ils avaient envisagé en se pointant sur place. La convivialité du site, l’accueil chaleureux des producteurs et la qualité des kiosques incitent assurément les gens à remplir leurs sacs.
LE MARCHÉ LOCAL DE COMPTON TERMINE SA SAISON EN FORCE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois