Contrairement à ce qui est observé dans l’ensemble du Québec, alors qu’un élu sur dix a démissionné de son poste depuis deux ans, la situation est au beau fixe dans la MRC de Coaticook. Le préfet de la MRC, Bernard Marion, mentionne fièrement qu’aucune démission n’a été signalée chez les élus depuis les élections de 2021. Que ce soit à Coaticook, Waterville, Dixville ou Martinville, tous les maires et conseillers élus, lors des dernières élections au Québec, demeurent en poste. Bernard Marion estime que le personnel dans les bureaux de la MRC pourrait expliquer, en partie, cette heureuse situation. Selon lui, les élus de l’ensemble des municipalités reçoivent un excellent soutien et ont droit à une multitude de services. Parfois, dit-il, des gens questionnent le nombre élevé d’employés dans les locaux, mais ceux-ci ont tous leur utilité. À ce sujet, le préfet ne manque pas de signaler qu’à chaque fois que la MRC crée un nouveau poste, une intense réflexion s’exerce pour s’assurer de la pertinence d’une telle décision. La hausse constante de responsabilités que le gouvernement déverse dans la cour des municipalités se traduit souvent par l’ajout de ressources spécialisées dans les MRC, mais Bernard Marion jure que tout est analysé soigneusement. Ce dernier a de bons mots pour le directeur général, Dominic Faucher, lequel parvient à maintenir une belle harmonie au sein des troupes.
LE BON SUPPORT DU PERSONNEL DE LA MRC POURRAIT EXPLIQUER L’ABSENCE DE DÉMISSIONS CHEZ LES ÉLUS
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois