Le Big Bill de Coaticook s’arrête à Drummondville, ce soir, pour y affronter le Brock de l’endroit. Les protégés de l’entraîneur Joe Breton, vont tenter d’emmagasiner une 4e victoire en cette saison 2024. Samuel Jalbert a été désigné pour amorcer la rencontre au monticule pour Coaticook. L’artilleur droitier a très bien fait à ses premières sorties en relève cette saison. Il sera opposé au lanceur japonais, Masatoshi Sakurai. Le Big Bill fait bien les choses, tant en attaque qu’en défensive. Les frères Francis et Maxime Beaudoin (photo) couvent beaucoup de terrain au champs extérieur et demeurent une menace constante lorsqu’ils sont sur les buts. Par ailleurs, les Coaticookois seront de retour devant leurs partisans, dimanche, 14 h, au Stade Julien-Morin pour la visite des représentants de Thetford Mines.
LE BIG BILL DE COATICOOK EN QUÊTE D’UNE 4e VICTOIRE CETTE SAISON
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois