Certaines craintes avaient été exprimées, il y a quelques mois, sur les conséquences des taux d’intérêt élevés sur les perspectives en construction. Celles-ci semblent se confirmer pour la présente année 2024 à Coaticook. Du moins, les chiffres contenus dans le dernier rapport de construction laissent effectivement présager une année moins fructueuse que celle de l’an dernier. Ainsi, par exemple, après quatre mois en 2024, la valeur totale des travaux réalisés en construction atteint 6,5 M$ alors qu’elle s’élevait à 13,7 M$, l’an dernier, à la même époque. Dans la colonne des maisons résidentielles, 4 maisons ont été construites jusqu’ici comparativement à 7 à la même période, l’an dernier. Mais c’est principalement au niveau des immeubles à logement que l’année 2024 risque d’être beaucoup plus tranquille. L’an dernier, après 4 mois d’activités, on dénombrait un total de 24 logements alors qu’on en compte zéro cette année. Heureusement, plusieurs permis pour des immeubles à logements avaient été demandés, tard à l’automne 2023, ce qui génère actuellement une intéressante activité dans le secteur des Érables.
L’ANNÉE 2024 EN SERA UNE MOINS FRUCTUEUSE À COATICOOK DANS LE SECTEUR DE LA CONSTRUCTION
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois