Malgré une contre-expertise qui indique que le bâtiment de l’Hôtel de ville de Compton pourrait être sauvé, la Municipalité de Compton continue de penser que la démolition et la construction d’un nouvel hôtel de ville demeure la meilleure option possible dans le contexte actuel. Selon le maire Bernard Vanasse, dans l’éventualité où l’on conserverait le bâtiment existant, la facture risquerait d’être élevée. Outre les travaux de rénovation estimés à 455 000 $, la Municipalité se verrait également dans l’obligation de commander une mise aux normes, laquelle engagerait une dépense approximative de 730 000 $, notamment pour l’ajout d’un ascenseur.
La démolition de l’hôtel de ville demeure la meilleure option à Compton
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois