La première phase de modernisation de la consigne est entrée en vigueur, hier, au Québec. Depuis hier, tous les contenants (cannettes) ont une valeur uniformisée de 10 cents. Interrogé sur la pertinence de cette modernisation de la consigne, le propriétaire du IGA Coaticook, Dominic Arsenault, n’en démords pas. À l’instar des intervenants de la MRC de Coaticook, il aurait grandement préféré abolir le concept de consigne et de tout envoyer ces matières résiduelles aux centres de tri, via la collecte du bac bleu. Selon lui, c’est une aberration de voir le gouvernement s’entêter à maintenir deux systèmes de collecte en parallèle. En envoyant davantage de matières aux centres de tris, ceux-ci verraient leur volume prendre de l’expansion et les sommes d’argent supplémentaires permettraient d’investir dans de la nouvelle technologie. Cette façon de faire permettrait des économies d’échelle, tout en réduisant le va-et-vient de camionneurs sur le chemin.
DOMINIC ARSENAULT ABOLIRAIT LA CONSIGNE POUR DES ÉCONOMIES D’ÉCHELLE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois