Des propriétaires de terrains situés à Compton, de même que des intervenants impliqués dans le développement domiciliaire, questionnent sérieusement les récentes décisions du conseil municipal. Rappelons que la semaine dernière, la Municipalité de Compton a annoncé qu’elle se proposait de réviser le plan d’urbanisme. Une résolution a d’ailleurs été adoptée lors de la dernière assemblée des élus. La révision de ce plan d’urbanisme s’accompagne d’un règlement intérimaire, lequel a le pouvoir de suspendre toute émission de permis de construction, et ce, dans la totalité des zones… sauf une seule, soit la zone H-12. Curieusement, cette zone correspond aux terrains appartenant au conseiller municipal, Marc-André Desrochers. Des propriétaires de terrain de la région estiment que le conseil municipal fait carrément preuve de favoritisme en permettant à un seul propriétaire de terrain de pouvoir continuer à développer son secteur pendant que tous les autres sont stoppés par la machine administrative municipale. L’un des ces propriétaires, Martin Massé, s’explique mal cette façon de faire des élus. Non seulement le conseiller Martin Desrochers est-il exempté de cette suspension de permis, mais il a, contre toute logique, profité de son statut d’élu pour voter en faveur du règlement, le 11 novembre dernier. Une irrégularité flagrante selon lui, puisque le conseiller est directement en conflit d’intérêt. Martin Massé n’a rien contre le fait de voir Compton procéder à une révision du plan d’urbanisme, mais veut savoir pourquoi les règles ne sont pas les mêmes pour tous. Pour lui, c’est avant tout une question d’équité, de transparence et de justice.
DES PROPRIÉTAIRES DE TERRAINS DE COMPTON DÉNONCENT LE FAVORITISME DE LA MUNICIPALITÉ
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois