Les vents violent qui ont secoué la région de l’Estrie, dans la nuit de mardi à mercredi, ont causé passablement de dommages dans certaines érablières de la région. Steve Devost de Coaticook, qui est propriétaire d’une érablière de 32 000 entailles, en est un qui peut en témoigner. Ce dernier a confié à CIGN FM, ce matin, qu’il pourrait perdre une centaine d’érables. Selon lui, il faudra une semaine complète pour quatre hommes pour procéder au ramassage d’arbres et de branches tombés au sol. Ce sont principalement les érablières situées sur un versant exposé aux vents violents ont été affectées. Le vent soufflait en direction Sud-Est dans la nuit de mardi à mercredi. Pour plusieurs propriétaires, les pertes sont énormes.
DES ÉRABLIÈRES DE L’ESTRIE TRÈS AFFECTÉES PAR LES VENTS VIOLENTS
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois