À partir de ce lundi 20 janvier, la Ressourcerie des Frontières (Coaticook-Magog) se voit dans l’obligation de revenir à la formule des rendez-vous pour les dépôts. Depuis l’été dernier, les gens pouvaient venir en tout temps pour y déposer leurs marchandises. Mais l’expérience n’a pas été concluante. Comme le signale la directrice, Julie Potvin, la Ressourcerie des Frontières fonctionne actuellement en désavantage numérique et ce manque de personnel fait en sorte qu’on ne dispose pas des effectifs requis, ne serait-ce que pour recevoir la marchandise et la placer à l’intérieur du bâtiment. Le printemps dernier, on dénombrait, au maximum, de 25 à 30 dépôts alors qu’on enregistre maintenant de de 50 à 60 par jour. C’est trop.
DEPUIS AUJOURD’HUI (lundi 20 janvier), IL FAUT UN RENDEZ-VOUS POUR LES DÉPÔTS À LA RESSOURCERIE DES FRONTIÈRES
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois