Le site du parc de la Gorge de Coaticook a été sélectionné pour tenir l’événement régional de la Fête nationale, le 23 juin prochain. Cette nomination permet notamment à Coaticook de s’assurer une enveloppe budgétaire approximative de 25 000 $ provenant de la Société nationale de l’Estrie. Par le passé, cette fête «régionale» avait constamment lieu à Sherbrooke, mais les dirigeants de la Société nationale de l’Estrie ont décidé de changer les règles du jeu et de mettre sur pied un véritable processus d’appel de candidature. Les dirigeants du parc de la Gorge se sont donc activés à élaborer un dossier de candidature et a finalement obtenu gain de cause. Outre cette somme de 25 000 $, les organisateurs des festivités pourront miser sur une contribution de 12 000 $ de la Ville de Coaticook et de 10 000 $ du parc de la Gorge. C’est sans compter qu’Hydro-Québec pourrait allonger un 6000 $ de plus . En bout de ligne, les organisateurs disposent d’un montant de près de 50 000 $ pour tenir cet événement, ce qui laisse entrevoir la présence d’artistes bien connus au Québec.
Budget de 50 000 $ pour la Fête nationale à Coaticook
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois