Les Comptonales ont été un succès sur toute la ligne selon l’organisation et certains visiteurs rencontrés. Les données recueillies pour le bilan de cette édition montrent une hausse de participation. La météo chaude et ensoleillée y serait-elle pour quelque chose? Quoi qu’il en soit, l’organisation se dit satisfaite et heureuse de pouvoir conclure la saison des marchés sur une note positive.
Mme Garance Philippe, directrice générale de la Virée gourmande, nous donne les chiffres :

Qu’est-ce qu’un client unique?

Combien de coupons ont été vendus? Près de 110 800 coupons!

Les navettes ont également été un peu plus utilisées que l’an dernier. Contrairement aux années précédentes, où les gens arrivaient plutôt en après-midi, cette année, plus de visiteurs se sont présentés avant midi, le samedi. Pour le dimanche matin, deux autobus supplémentaires ont donc été ajoutés au circuit afin de maintenir une attente raisonnable pour les participants.
Au total, les 14 navettes ont parcouru 5 166 kilomètres. Les départs étaient prévus toutes les 15 minutes et circulaient du début de la journée jusqu’à 17 h, pendant les deux jours de l’événement.
Mme Philippe précise :

Pour la première fois cette année, l’organisation a procédé à la pesée des déchets. Résultat : seulement 6 % des matières ont été dirigées vers la poubelle.

L’ensemble de ces bons résultats a été rendu possible grâce à la présence de nombreux bénévoles, souligne Mme Philippe. La Virée gourmande a pu compter sur plus de 85 bénévoles cette année.

Mme Diane Goyette, présidente du conseil d’administration des Comptonales et responsable de la destination du Parc des Lions, se disait également satisfaite de l’achalandage observé :

Nous avons discuté avec quelques visiteurs au Parc des Lions. Voici les impressions de ceux qui ont profité de l’événement :

Mme Kateri Lescop-Sinclair venait de terminer son goûter au moment de notre rencontre :

Venu de Blainville, M. Frédéric Labelle visite les Comptonales pour une troisième année :

En visite chez des amis en Estrie, M. Gilles Revel en était à sa première expérience :