Treize ans déjà pour la Virée gourmande des Comptonales qui aura lieu les 14, 15 et 16 septembre. Et à en juger par l’enthousiasme manifestée par les producteurs de la région, on ne ressent aucun essoufflement au sein de l’organisation des Comptonales. La présidente de l’événement, Diane Goyette, était pleine de verve et de vitalité, mercredi, à l’occasion de la conférence de presse annonçant l’événement. Nouveauté cette année alors que l’on procédera à l’inauguration de cette édition 2018 avec une grande fête villageoise le 14 septembre, de 17 h à 21 h. Bienvenue dans la soirée «Compton by Night». Comme en fait foi la photo ci-haut, les organisateurs, producteurs et bénévoles sont de joyeux lurons à l’approche des festivités.
Aucun essoufflement du côté des Comptonales
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois