Steve Proulx de Coaticook n’a plus besoin de présentation. Il est connu à travers l’Estrie comme étant un homme courageux qui tente de vivre une vie le plus normale possible malgré qu’il soit aveugle. Ce matin, l’animatrice Marie-Pier Audet de CIGN FM le recevait pour un entrevue. Steve a alors confirmé publiquement qu’il lancera, non pas UN, mais bien DEUX livres simultanément en novembre prochain. L’un portera le titre: La gloire après le désespoir. Ce livra raconte les hauts et les bas de sa vie avec détails. Le second s’intitule: La performance dans les veines et nous raconte la personnalité sportive de notre homme, toujours actif dans le monde du travail et qui joue admirablement bien son rôle de père de famille.
APRÈS LA GLOIRE, LE DÉSESPOIR: STEVE PROULX RACONTE SON ÉPREUVE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois