L’année 2023 qui s’achève coïncide avec le 100e anniversaire de l’entreprise JM Champeau de St-Malo. Et après 100 ans, on ne remarque aucun essoufflement chez les dirigeants de chez cette entreprise qui se spécialise dans la transformation du bois. Cinq actionnaires sont présentement à la tête de cette compagnie qui possède aussi une autre usine à Lac Mégantic, en plus de miser sur Transport Champeau. Deux des actionnaires de la compagnie, les frères Bruno et Pierre Champeau, représentent la quatrième génération de la famille Champeau. C’est leur arrière-grand-père qui a fondé cette scierie, en 1923, aux abords du petit lac Lyndsay. Jean-Christophe, fils de Pierre, est à l’emploi de JM Champeau depuis quelques années et occupe une place importante. La relève est donc assurée dans la famille Champeau. Et les actionnaires n’ont surtout pas l’intention de s’asseoir sur leurs lauriers. Ils continuent constamment de moderniser les installations afin de demeurer compétitifs sur le plan international. Quelque 190 travailleurs sont à l’emploi de l’usine de St-Malo. En ajoutant ceux de Lac Mégantic et les chauffeurs de camions, on arrive à plus de 250 employés. JM Champeau exporte ses produits dans 30 pays dans le monde. Selon Pierre Champeau, le recrutement demeure un défi constant, mais l’année 2023 a bien été sur ce plan. Dans 50 ans, qui sait, c’est peut-être le fils ou la fille de Jean Christophe qui lèvera son verre à un 150e anniversaire.
APRÈS 100 ANS D’EXISTENCE, UNE 5e GÉNÉRATION S’AFFIRME DÉJÀ CHEZ JM CHAMPEAU DE ST-MALO
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois