Comme c’est le cas, chaque année, à cette période-ci, des employés sont engagés à la Laiterie de Coaticook pour la confection de bûches de Noël. Cette année, une équipe de sept personnes travaillent plusieurs jours par semaine dans le but de préparer 250 000 bûches de Noël dont 70 000 à saveur d’érable. Comme l’explique Dominic Paradis, coordonnateur-marketing à la Laiterie Coaticook (photo), la bûche de Noël est tellement en demande à travers le Québec qu’il devient difficile d’alimenter tous les marchés d’alimentation désireux d’en avoir.
250 000 BÛCHES DE NOËL CUISINÉES À LA LAITERIE COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois