Il y a 50 ans, soit à l’hiver 1969, Coaticook avait enfin son aréna. Après plus de 20 ans à réclamer cette infrastructure, les Coaticookois pouvaient enfin crier victoire ! L’aréna a nécessité un déboursé de l’ordre de 250 000 $ à l’époque. Une souscription publique avait préalablement permis d’amasser la somme incroyable de 93 000 $. Vingt cinq ans plus tard, on donnait le nom de Gérard-Couillard à l’aréna. Innombrables le nombre de manifestations sportives (hockey, ballon balai, patinage artistique, lutte, boxe, etc.) qui ont eu lieu au cours des ces 50 premières années. Incidemment, des festivités auront lieu en septembre prochain pour souligner ce 50e anniversaire. Lancement d’un livre de 240 pages, exposition au Musée Beaulne et grandes retrouvailles sont au menu de ces festivités.
Il y a 50 ans, Coaticook avait enfin son aréna
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois