Le Coaticookois d’origine François Landry connaît une ascension impressionnante dans la discipline de la course à pied. Qu’il suffise de dire qu’il vient de terminer deuxième dans la catégorie des «Maîtres» (40 ans et plus) et au troisième rang du classement cumulatif (tous âges confondus) lors du Marathon du Petit train du Nord (Laurentides). Pas trop mal quand on sait qu’il y avait plus de 2000 coureurs à cette compétition. Et plutôt incroyable quand on sait qu’il a commencé à s’intéresser à cette discipline il y a trois ans seulement. François Landry voit loin. Ainsi, lors de sa prochaine participation au prestigieux Marathon de Boston, il caresse l’ambition de terminer parmi les 75 premiers. Il aura fort à faire puisque le Marathon de Boston regroupe plus de…30 000 participants.
François Landry fait partie de la crème des marathoniens
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois