Le chef de la Coalition Avenir Québec (CAQ), François Legault, s’est arrêté à l’hôtel de ville de Coaticook, vendredi, dans le but d’échanger avec le maire Simon Madore. Galvanisé par des sondages très prometteurs, le chef de la CAQ n’a pas caché qu’il souhaite ardemment que son parti puisse effectuer une percée en Estrie lors des élections d’octobre prochain. Selon des sondages à l’interne, la CAQ serait en avance dans deux circonscriptions de l’Estrie et à égalité avec le Parti libéral dans les quatre autres. François Legault a eu l’opportunité d’échanger avec le maire et ses conseillers en avant-midi. Ils ont discuté du tissus industriel, de l’importance de l’agriculture et de l’école du CRIFA et de quelques autres sujets.
Le chef de la CAQ s’arrête à l’hôtel de ville de Coaticook
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois