Les propriétaires d’une maison à Coaticook sont généralement épargnés par diverses pannes électriques depuis quelques années. Encore la semaine dernière, pendant que plusieurs régions du Québec, dont la Montérégie, étaient affectées par des pannes de courant, les gens du territoire de Coaticook n’ont jamais perdu la lumière. Selon des données d’Hydro-Québec, 40 % des pannes d’électricité qui surviennent sont attribuables à la végétation (arbres et branches cassées). Sachant cela, on comprend l’importance de répéter, chaque année, des opérations d’élagage dans certains secteurs. Le maire de Coaticook, Simon Madore, croit qu’une partie de l’explication passe par un excellent travail des employés de la Ville en charge de ce mandat.
EXCELLENTE NOTE POUR LES EMPLOYÉS D’HYDRO-COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois