À partir de ce lundi 20 janvier, la Ressourcerie des Frontières (Coaticook-Magog) se voit dans l’obligation de revenir à la formule des rendez-vous pour les dépôts. Depuis l’été dernier, les gens pouvaient venir en tout temps pour y déposer leurs marchandises. Mais l’expérience n’a pas été concluante. Comme le signale la directrice, Julie Potvin, la Ressourcerie des Frontières fonctionne actuellement en désavantage numérique et ce manque de personnel fait en sorte qu’on ne dispose pas des effectifs requis, ne serait-ce que pour recevoir la marchandise et la placer à l’intérieur du bâtiment. Le printemps dernier, on dénombrait, au maximum, de 25 à 30 dépôts  alors qu’on enregistre maintenant de de 50 à 60 par jour. C’est trop.