Les dépenses sont résolument à la hausse à Compton pour l’année 2025. Selon le budget déposé plus tôt cette semaine, on parle d’une augmentation de 9 % des dépenses pour le prochain budget, soit un montant de 700 000 $. Cette importante hausse des dépenses explique, en partie, l’augmentation moyenne de 8,9 % des contribuables de cette localité de 3000 habitants. En entrevue à CIGN FM, le maire Jean-Pierre Charuest a mentionné que la Municipalité devra, entre autres, payer 50 000 $ de plus pour la Sûreté du Québec. Il faudra aussi payer 50 000 $ de plus pour la cote part à la MRC. Il faudra également verser 100 000 $ de plus en 2025 pour défrayer l’ensemble des employés municipaux. Le maire de Compton s’empresse de signaler que toutes les options ont été scrupuleusement analysées par le personnel et les élus. Parfois les élus doivent faire un choix entre, adopter un projet ou le repousser à plus tard. Mais repousser un projet d’une année ou deux plus tard se traduit inévitablement par une importante augmentation du dit projet. Le conseil municipal a également le souci de maintenir les actifs en place en bon état. Pensons aux infrastructures routières par exemple. Ou à la caserne des pompiers. La qualité de vie des citoyens fait aussi partie de l’équation. Le maire a aussi profité de l’adoption du budget, mardi, pour revenir sur le nouveau rôle d’évaluation. Un nouveau rôle qui se traduit par une hausse moyenne de 51 % sur le plan résidentiel. En 2025 à Compton, la valeur d’une maison moyenne se chiffre désormais à 364 000 $ comparativement à 317 000 $ à Coaticook.
HAUSSE DES DÉPENSES DE 9 % À COMPTON EN 2025
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois