Dans son désir constant d’améliorer son attaque, l’organisation du Big Bill de Coaticook a mis la main, hier, sur le frappeur de puissance, Nelson Ercia, lors d’une transaction avec les Pirates de Saint-Jean. Nelson Ercia venait tout juste d’être obtenu des Expos de Sherbrooke dans la journée d’hier lorsqu’il a par la suite été envoyé à Coaticook en retour d’un choix de 2e ronde en plus des droits sur Marc-Antoine Brousseau, un lanceur qui n’a disputé qu’un seul match dans la ligue depuis cinq ans. Nelson Ercia a maintenu une moyenne de 321 depuis les débuts de sa carrière dans la Ligue de baseball majeur du Québec. Le Big Bill espère le convaincre de s’amener à temps pour la série de trois joutes en quatre jours que doit disputer l’équipe jeudi, vendredi et dimanche.
LE BIG BILL DE COATICOOK MET LA MAIN SUR UN FRAPPEUR AGUERRI
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois