Une quarantaine de citoyens se sont pointés à une assemblée régulière de la MRC de Coaticook, mercredi soir, dans le but d’interpeller les élus sur le processus actuellement en branle dans la région. La plupart des gens avaient été invités à l’assemblée de la MRC, par la voie d’un trac, distribué par la poste, et ce, de façon anonyme. Précisons d’abord que la compagnie Inergex a les yeux sur des terrains situés dans six municipalités de la MRC. Selon le modèle d’affaire prévu, la formule préconisée consiste en un partenariat d’affaires. La MRC serait propriétaire du parc à 45 %, le promoteur privé à 50 % et la communauté Wabanaki à 5 %. Et si on va de l’avant avec la construction d’éoliennes, la MRC devra investir 20 % du montant total du projet et toucherait 45 % des redevances de la vente de l’énergie à Hydro-Québec. L’assemblée de mercredi soir s’est bien déroulée, selon le directeur général de la MRC, Dominic Faucher. Les gens ont posé un tas de questions sur des aspects touchant la santé l’environnement et la perte de valeur pour les maisons avoisinant les éoliennes. Par ailleurs, le sondage auquel il était possible de répondre a grandement retenu l’attention à la MRC. Pas moins de 400 personnes y ont répondu. C’est sans compter les trois assemblées d’information qui ont eu lieu au cours des derniers mois. Incidemment, c’est hier soir que le rapport, tenant compte de toutes ces infos, a été déposé. Déjà sur le site de la MRC, on a répondu aux questions.
LE DÉBAT SUR LES ÉOLIENNES SE TRANPORTE À UNE ASSEMBLÉE DE LA MRC DE COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois