En cette saison 2024, le Stade de baseball Julien-Morin de Coaticook célèbre son 60e anniversaire d’existence. C’est effectivement à l’été 1964 que le stade de baseball de Coaticook a accueilli ses premières joutes locales du Canadien de Coaticook qui évoluait dans la Ligue provinciale de baseball. Le Coaticookois Denis Marcoux fut le principal instigateur de la venue d’un nouveau stade chez-nous. Les dirigeants de la Ligue provinciale avaient été clairs envers l’organisation du Canadien: on se devait de construire un nouveau stade, sans quoi Coaticook ne pouvait continuer d’évoluer dans ce circuit. La venue du stade a permis de populariser cette discipline aux plus jeunes. Le sportif Bernard Dumont fut un des premiers présidents du baseball mineur vers la fin des années 1960. En 1974, Coaticook est choisi pour présenter le Championnat canadien de baseball de calibre bantam. Au milieu des années 1970, on assiste aussi à la création de la Ligue frontières. Coaticook est alors représenté par une formation (Celanese) entièrement composée d’éléments locaux. Puis la Ligue de baseball senior de l’Estrie a accueilli une équipe de Coaticook dans son circuit. Les Cards de Coaticook sont arrivés en 1987. Ils ont changé de nom en 1997, pour devenir les Athlétiques de Coaticook. Depuis 1999, la formation évolue sous le nom du Big Bill. En 2004, l’équipe fait son entrée dans la Ligue de baseball majeur du Québec. On en est donc à une 37e année ininterrompue de baseball senior à Coaticook. Pendant ses 60 ans, le stade a aussi accueilli des tournois de balle lente familiale, des rodéos, des activités du Festival du lait (années 1970-1980) et bien d’autres festivités.
LE STADE JULIEN-MORIN DE COATICOOK CÉLÈBRE SES 60 ANS CETTE ANNÉE
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois