La compagnie Taxi 300 de Coaticook est en train de gagner son pari. Depuis que le service de transport à la demande est géré par l’équipe de Taxi 300 (photo), le téléphone sonne avec régularité. Selon Raynald Drolet et ses gestionnaires, de 25 à 40 trajets sont effectués quotidiennement. Précisons que ce service avait été lancé, l’automne dernier, sous la forme d’un projet pilote, par la MRC de Coaticook. Le mandat avait été attribué à Acti-Bus. Mais Raynald Drolet a effectué des représentations au Conseil municipal, au mois de décembre, dans le but de convaincre les élus qu’il serait plus logique et plus sain sur le plan environnemental, d’utiliser une petite voiture électrique plutôt qu’un imposant véhicule à essence pour une ou deux personnes.
LA FORMULE DU TAXI BUS GAGNE EN POPULARITÉ À COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois