Lorsque le Coaticookois André Devost a lancé son entreprise, Devost Débosselage, en 1974, il était probablement loin de se douter que son commerce allait encore faire partie du décor commercial, 50 ans plus tard. Nous y sommes. C’est précisément le 14 février 1974 (jour de St-Valentin) que l’histoire d’amour a commencé entre André Devost et ses nombreux clients. Au fil des ans, André a su communiquer sa passion à son fils Stéphane, qui s’est joint à l’entreprise en 1988. Au début des années 2000, Stéphane prenait les rênes de Devost Débosselage. Puis, il y a une quinzaine d’années, c’est Frédéric, le fils de Stéphane, qui s’est amené à l’atelier de la rue Main Est. Et un jour, qui sait, le fils de Frédéric (3 ans) fera peut-être son entrée par le grande porte du garage pour ainsi devenir un digne représentant de la famille Devost à diriger la boîte.
DEVOST DÉBOSSELAGE CÉLÈBRE SES 50 ANS À COATICOOK
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois