Jusqu’au 31 octobre, le musée Beaulne de Coaticook présente une exposition sur la carrière du «Grand Henri», ce magicien né à Coaticook en 1921 et qui a présenté des spectacles un peu partout au Canada et dans l’Est des États-Unis. Il a été le premier à faire de l’hypnose en public. Ses dons de clairvoyance ont grandement impressionné les gens à l’époque. Qu’il suffise de dire qu’il avait prévu la Crise d’octobre en 1971, et ce, un an avant les événements.
Revivez la carrière de magicien du «Grand Henri» au musée Beaulne
Lorsqu’il était gamin, il voulait comme tous les p’tits Québécois devenir un joueur de hockey. Mais quelques bonnes mises en échec sévères l'ont vite ramené à une réalité implacable. Il lui fallait penser à un plan B. Il a donc commencé à rêver à une carrière de journaliste sportif. Finalement, il a atteint son objectif, mais il ne s'est pas limité aux sports.
Dès ses 21 ans, soit en 1983, il débute au journal Le Progrès à titre de journaliste. Quelques années plus tard, il accepte un poste de correspondant pour Coaticook au quotidien La Tribune de Sherbrooke.
En 1992, le poste de rédacteur en chef du journal Le Progrès se libère et il succède à Lauréat Bélanger. Cette aventure s'échelonne sur une période 17 ans. Par la suite, il est successivement journaliste au Journal de Magog (Québecor) et au Journal de Sherbrooke (Québecor).
En 2017, il effectue un léger tournant en tentant l’expérience de la radio à CIGN FM. Il découvre alors un médium intéressant qui fait appel à l’instantanéité et au travail d’équipe. Ce média lui permet d’informer, de raconter, de vulgariser et de divertir.
Chanson qu’il pourrait écouter en boucle, encore et encore: Si Dieu existe, Claude Dubois